#etsilonenparlait
Retour sur le 4e clip de la Campagne "Et si l’on en parlait ?" :
Savoir avancer ensemble dans la même direction
Quatrième vidéo de sensibilisation : Savoir avancer ensemble dans la même direction !
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview Pr Laure Gossec
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview de Patients vidéo 4
suite au lancement du 4e clip de la campagne dédiée à la relation medecin - patient atteint de Polyarthrite Rhumatoïde, nous vous avions demandé votre avis :
En posant les bonnes questions pendant la consultation, on peut tous ensemble améliorer la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde.
Avez-vous été impliqué par votre rhumatologue dans la décision autour de votre traitement ?
Voici enfin les résultats :
44,5 % des personnes interrogées ne se sentent pas impliquées (16,9 % Pas du tout impliqué et 27,6 % Peu impliqué).
44,9 % des personnes interrogées se sentent impliquées (24,4 % Impliqué et 20,5 % Totalement impliqué).
10,7 % des personnes interrogés ne voient pas ou plus de rhumatologue.
En conclusion, les avis sont très partagés !
Pour les personnes ne se sentant pas impliquées, peut être que vous pouvez faire changer les choses en proposant un échange sur la décision partagée ? Et si vous lui demandiez ce qu’il en pense ?
Conseil valable pour les 10,7 % d’entre vous qui ne voient pas ou plus leur rhumatologue : une bonne prise en charge de la maladie commence par un bon suivi avec un rhumatologue afin de ralentir et endiguer l’évolution de la polyarthrite rhumatoïde !
Retour sur le 3e clip de la Campagne "Et si l’on en parlait ?" :
Il n’est pas évident de reconnaître un patient qui ne prend pas son traitement
Troisième vidéo de sensibilisation : Il n’est pas évident de reconnaître un patient qui ne prend pas son traitement !
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview Pr René-Marc Flipo
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview de Patients vidéo 3
suite au lancement du 3e clip de la campagne dédiée à la relation medecin - patient atteint de Polyarthrite Rhumatoïde, nous vous avions demandé votre avis :
En posant les bonnes questions pendant la consultation, on peut tous ensemble améliorer la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde.
Pourquoi n’avez-vous pas dit à votre médecin que vous ne preniez pas bien votre traitement ?
Voici enfin les résultats :
La principale raison de ne pas dire à son médecin que le traitement n’est pas bien prit pour près d’une personne sur deux (44,1%), c’est très clairement pour éviter une leçon de morale !
On constate aussi que la peur des conséquences sur la relation avec le médecin, et ne pas avoir envie d’être jugé arrivent en seconde et troisième position (18,6% et 16,9%).
Une des réponses les plus citées provient du champ libre que vous aviez à la fin de la question. Pour 15,3% la vérité est dite et/ou le traitement est respecté et/ou il y a de bonnes relations avec le médecin.
Et pour finir, c’est la non importance (10,2%) et l’envie de ne pas décevoir (6,8%)
Comme dit plus haut, vous aviez aussi le champ libre pour vous exprimer grâce à la partie ‘’Autres’’, nous vous les proposons réparties 4 catégories, en plus ce celle déjà écrite plus haut :
En manque d’explications des traitements : 2 (3,4%)
Médecin pas ou peu à l’écoute : 2 (3,4%)
Pas encore de traitement : 1 (1,7%)
Décision personnelle : 1 (1,7%)
Retour sur le 2e clip de la Campagne "Et si l’on en parlait ?" :
La vie donne bien des raisons de ne pas prendre son traitement
Deuxième vidéo de sensibilisation : Médecin - Malade : une reladion à deux !
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview Dr Jean-David Cohen
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview de Patients vidéo 2
suite au lancement du 2e clip de la campagne dédiée à la relation medecin - patient atteint de Polyarthrite Rhumatoïde, nous vous avions demandé votre avis :
En posant les bonnes questions pendant la consultation, on peut tous ensemble améliorer la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde.
Quelles sont les principales raisons pour lesquelles vous ne prenez plus votre traitement ?
Voici enfin les résultats :
La principale raison de ne pas prendre son traitement pour près d’une personne sur deux (44,9%), c’est très clairement l’oubli.
On constate aussi que la lassitude et la peur des effets indésirables arrivent en seconde position, quasi exæquo (27,6% et 26,6%).
Contre toute attente, concilier voyages avec le traitement n’est plus un gros problème (7,9%). Sommes-nous devenus des globe-trotteurs qui s’adaptent ou au contraire des sédentaires qui n’ont pas ce souci ?
Vous aviez aussi le champ libre pour vous exprimer grâce à la partie ‘’Autres’’, nous vous les proposons réparties 7 catégories :
N’oublie jamais le traitement : 8 (3,6%)
Arrêt suite à l’avis de l’hôpital (infection, intervention, désir de grossesse) : 6 (2,7%)
Avoir des effets secondaires, prise de poids : 5 (2,3%)
Refus de traitement, Dégout, Marre de penser à la maladie ou N’accepte pas sa maladie : 5 (2,3%)
Pas de différence ou inefficacité face à la douleur : 4 (1,8%)
Impression de ne pas avoir de PR : 1 (0,5%)
Pas de traitements : 1 (0,5%)
Retour sur le 1er clip de la Campagne "Et si l’on en parlait ?" :]
Le meilleur moment pour dialoguer reste la consultation
Première vidéo de sensibilisation : Médecin - Malade : une reladion à deux !
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview Dr Eric Senbel
Médecin-Malade : une relation à deux ! interview de Patients
suite au lancement du 1er clip de la campagne dédiée à la relation medecin - patient atteint de Polyarthrite Rhumatoïde, nous vous avions demandé votre avis :
En posant les bonnes questions pendant la consultation, on peut tous ensemble améliorer la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde.
Et vous, dites-vous toujours tout à votre médecin ?
Voici enfin les résultats :
— > Près de 50% (49,5%) des personnes qui ont répondu au sondage disent tout ou presque à leur médecin.
— > 31,8% sans "tout dire" semblent assez transparents avec leur rhumatologue.
— > et 18,7% seraient plutôt "cachottiers".
Mais pouvons-nous vraiment tout dire ?
Vos témoignages montrent que l’ouverture et la disponibilité du médecin entrent aussi en compte !